mardi 28 avril 2009

Un fou peut en cacher un autre

Je m’interroge de plus en plus sur la santé mentale des personnes ici dans notre bonne vieille capitale. Je m’explique : j’ai grandi en entendant tous les problèmes qui existent sur terre, avec des parents baignés dans le social, j’ai toujours aimé comprendre les gens et comprendre leur fonctionnement. Bref un peu psycho, un peu névro… je l’avoue ! et je l’assume surtout !

Mais les gens deviennent fous ! Pour exemple, récemment, une jeune fille que je trouvais culottée au départ essayait de prendre ce qui m’appartenait et à essayer de mettre son grain de sel dans ma vie. Déjà, on s’arrête sur ce point : n’y a-t-il pas des choses plus importantes à faire dans la vie que de pourrir celles des autres ? Ou même quelque chose de plus intéressant simplement dans sa journée ? Comment peut-on trouver sa vie minable au point de vouloir celle de quelqu’un d’autre ?

Précisons toutefois que cette personne (Lauryne Delacroix de son vrai nom, habitant dans le 16eme) ne m’a jamais rencontré, elle vit une vie dorée dans les beaux quartiers de Paris, est détentrice déjà de plusieurs biens immobiliers sur Paris grâce à papa maman qui sont dans le notariat, à ses amis, … Bref en apparence une vie bien tranquille comme la souhaiterait tant d’entre nous. Mais quand on a tout, malheureusement il y a parfois des ratés. Est-ce dû à l’éducation ? Des traumatismes ? Au caractère ? Tout cela à la fois ? Je ne puis vous assurer une réponse ferme et définitive… Peut-être le genre de photo qu'elle a pu m'envoyer répond à cette question :
(joli postérieur, certes mais on voit le niveau... Et ça se dit élégante ? On a pas vraiment la même définition de l'élégance...). Sans parler non plus des messages d'insultes dès qu'un de ses plans échouait (quand on est pas très maligne, on ne l'ai pas jusqu'au bout !).

Bref, cette jeune fille qui se débattait pour essayer de « me piquer mon mec » (vous voyez à quel niveau on évolue, à 24 ans, je trouve ça quand même délirant !) nous faisait un caprice monumental car pour la première fois de sa vie, deux personnes lui ont dis non pendant quelques mois. Tout ça car elle trouvait que j’avais une vie parfaite et qu’elle en était jalouse (là elle est devenue obsessionnelle et devrait consulter à ce stade ; l'obsession augmente avec ses actions, le piratage de mes comptes en est une preuve flagrante). Imaginez son calvaire la pauvrette…
Sans rentrer dans les détails de cette lamentable histoire au sujet si pathétique, Lauryne Delacroix a donc décidé de pirater mon Facebook, lire les statuts de mes contacts, enlever le contact de mon ami et nos dossiers photos, et a copié-collé des conversations privées qu’elle lui a envoyé en manipulant les informations. Moi qui sortait d’une opération, bonjour le retour chez soi !

Cela dit, elle a raté son coup, mais j’ai appris beaucoup de choses au commissariat. Sachez déjà que dès que vous passez par des réseaux dont le siège social n'est pas en France (facebook, msn, … en font partis), tout ce que vous pourrez faire s’arrêtera aux frontières. En gros, à part vous trouver le bec dans l’eau, c’est tout ce que vous pouvez faire contre ce genre de piratage. Dernier recours, lettre au procureur du TI au motif de piratage de données informatiques (et là, nous sommes dans du pénal) ou bien lettre au procureur du TGI au motif de violation de la vie privée (et là, on passe au civil). Par contre, vous pouvez faire comme cette même personne, voire pire, et elle ne pourra rien contre vous non plus ! Ca donne à réfléchir quand même… Toutes les possibilités que cela ouvre !
Ils m’ont aussi gentiment donné les noms des logiciels de piratage ainsi que certaines astuces pour les mots de passe. Qui est contre la police ? Moi je les trouve très utiles… ☺


Bien qu’aucune vie ne soit parfaite, certains vivent la leur encore plus mal que d’autres, mais est-ce une excuse pour tout se permettre ? Là, je vous répond d’un non catégorique ! Apprenez à ceux autour de vous de vraies valeurs et essayez de les transmettre dans vos relations. Le respect, les valeurs manquent dans notre belle capitale.
Résultat des courses ? Elle a tout perdu, j’ai gagné une copine, un ami et le respect de mes proches pour avoir toujours été honnête…
Je n'ai qu'un conseil à lui donner : construis déjà ta propre vie avant d'essayer de détruire celle des autres !

lundi 27 avril 2009

Focus sur les artistes contemporains iraniens

Shirin Neshat, née le 26 mars 1957 à Qazvin en Iran, est une artiste vidéaste et photographe iranienne qui vit à New York.
Ses parents sont issus d'un milieu aisé. Son père était médecin et sa mère s'occupait du foyer. Elle a grandi dans une famille occidentalisée qui appréciait la vision du choix de société du Shah d'Iran. Neshat a dit au sujet de son père : « il a fantasmé l'Ouest, idéalisé l'Ouest, et a lentement rejeté ses propres valeurs ; mes parents étaient ainsi. Ce qui s'est produit, je pense, est que leur identité s'est lentement dissoute, ils l'ont échangée pour le confort. Ils ont servi leur classe. ». Dans cette volonté d'occidentalisation des Neshat, elle fut inscrite dans une école catholique de Téhéran. Elle a trouvé l'ambiance froide et hostile en comparaison à son foyer familial. Parmi les éléments de l'occidentalisation de son père, il y avait l'acceptation d'une forme de féminisme à l'occidentale. Le père de Neshat a encouragé sa fille « à être une personne, à prendre des risques, à apprendre, à voir le monde. », et contrairement à la pratique conventionnelle de l'époque, il a envoyé ses filles aussi bien que ses fils à l'université pour faire des études supérieures.

Shirin Neshat a quitté l'Iran pour étudier l'art à Los Angeles. C'était à cette époque que la révolution iranienne s'est produite. Un des effets des changements politiques après la révolution, fut que son père qui avait été financièrement aisé, dû se retirer et partir sans avantages et avoir un maigre salaire. Une fois la Révolution terminée, et la société restructurée en nation islamique traditionnelle, sa famille n'avait plus la possibilité de maintenir le niveau de vie qui fut le leur sous le Shah. Environ un an après la Révolution, Shirin Neshat s'installe à San Francisco, dans le quartier de la baie, et commence à étudier au Dominican College. Par la suite, elle s'est inscrite à l'Université de Berkeley où elle a obtenu ses différents diplômes BA, MA et MFA (les équivalents des licences et maîtrises en France dans les formations artistiques).

Après ses études universitaires, elle part pour New York et commence à travailler pour une organisation à but non lucratif, appelée Storefront Art and Architecture. Cette organisation multidisciplinaire l'expose à d'autres idées, et devient un endroit où elle acquière des concepts qui feront parti plus tard de son œuvre. En même temps, elle crée ses premières œuvres artistiques qui seront détruites plus tard. En 1990, elle retourne en Iran. Elle fait l'expérience du fossé entre l'Iran contemporain et celui d'avant la Révolution dans lequel elle avait été élevée. De cette constatation et de ce choc naîtra sa première œuvre reconnue : les photos de la série The Women of Allah (Les Femmes d'Allah) présentant des portraits de femmes entièrement recouvertes de calligraphie Farsi.
Après s'être consacrée à la photographie, elle utilise, à partir du milieu des années 1990, la vidéo comme support de création. Elle réalise ainsi Anchorage (1996), et propose des installations où sont projetées deux vidéos : Ombre sous le Web (1997), Turbulent (1998), Rapture (1999) et Soliloquy (1999). Son travail se rapporte aux codes sociaux, culturels et religieux des sociétés musulmanes, et à la complexité de certaines oppositions. Neshat souligne souvent ce thème en montrant deux films, sur deux écrans côte-à-côte ou se faisant face, parfaitement coordonnés, créant ainsi de violents contrastes visuels avec des oppositions telles que la lumière et l'obscurité, le noir et le blanc, l'homme et la femme. Neshat a aussi fait de courts films narratifs, plus traditionnels, comme le film Zarin.

Le travail de Shirin Neshat traite des dimensions sociales, politiques et psychologiques de la vie des femmes dans les sociétés islamiques contemporaines. Neshat résiste vivement aux représentations stéréotypées de l'Islam, ses objectifs artistiques ne sont pas formellement polémiques. Plus exactement, son travail reconnaît la complexité des forces intellectuelles et religieuses formant l'identité des femmes musulmanes dans le monde.

Shirin Neshat est devenue internationalement connue en 1999, quand elle a obtenu le Lion d'or de la 18e biennale de Venise avec Turbulent, et Rapture, un projet avec 250 figurants, produit par la galerie Jérôme de Noirmont ; elle avait rencontré un grand succès critique et public après son avant-première mondiale à l'Institut d'art de Chicago en mai 1999. Avec Rapture Neshat a essayé pour la première fois de faire très attention à l'image, avec l'intention de créer un choc esthétique, poétique, et émotionnel.

Negar Assari-Samimi est une artiste iranienne conceptuelle humaniste, exerçant son art sur plusieurs supports y compris modernes: sculpture, dessin, peinture, photographie, et graphisme informatique, ayant pour thèmes principaux la religion, la paix, et la sauvegarde de l'environnement. De renommée internationale, elle expose essentiellement aux États-Unis et en Europe.


Diplômée du Collège d'Art et Architecture de Téhéran, Iran, en 1993, elle concentrait ses études sur la communication visuelle à visée éducative, au cours desquelles elle soutient une thèse concernant l'utilisation du support graphique à propos de l'éducation du public sur les risques environnementaux. Elle complète par la suite son cursus universitaire aux États-Unis à Fairfax, où elle complète un master d'arts et technologies informatives visuelles.

Amaneh Eskandari commence la peinture dès l’âge de 8 ans au Centre d’Education Intellectuelle de la Jeunesse de Téhéran. Elle devient professionnelle dès 1988, suite a sa formation artistique aux Beaux Arts à Téhéran. Elle peint souvent les portraits et les masques qui s’inspirent de la mémoire collective et de mythologie perse.

Ses oeuvres sont objets de travaux universitaires, qui sont visibles à des grandes foires et salons internationaux.
Puis c’est le début d’une nouvelle période. En 1997 grâce à une bourse du musée de l’art contemporain de Téhéran, elle part à Paris à la Cité internationale des arts. Elle installe alors en France en continuant ses activités professionnelles artistiques. En 1999, elle étudie création et édition numérique : audio-visuel, new media, design, multimédia & infographie. Elle commence une période de recherche d’autres formes d’expression que la peinture (multimédia, photo, poésie, installation et art vidéo et films). Cette période correspond à la création de l’association Artistes sans Frontières, qui réunit des artistes du monde vers une philosophie collective afin de promouvoir le langage de l’art. Elle développe une esthétique nouvelle de l’art contemporain, en réunissant toutes les techniques picturales, qui déteindra non seulement dans sa peinture, mais dans toute son œuvre artistique.
Elle commence un nouveau voyage, une nouvelle période "Being Born ou Naître".

Mahmoud Farshchian est un peintre iranien né à Ispahan le 24 janvier 1930. Il commence son apprentissage de l'art, de la peinture et de la miniature à Ispahan. Ses œuvres ont été exposées dans plusieurs musées et à travers des expositions dans le monde entier.
Le musée d'art contemporain de Téhéran, une référence en Iran


Le Musée d'art contemporain de Téhéran est un musée d'art contemporain situé près du Parc Laleh à Téhéran, en Iran. C'est dans ce musée que sont conservées les plus grandes collections d'art contemporain en dehors d'Europe et des États-Unis.
Le musée a été conçu par Kamran Diba et a été inauguré en 1977. Le bâtiment du musée a une superficie de 5 000 m² et est situé au centre d'un jardin d'environ 7 000 m² connu sous le nom de Jardin des sculptures, dans lequel sont disposées des sculpures d'artistes iraniens et étrangers.
L'architecture du musée se veut être un exemple d'architecture contemporaine iranienne, qui a été inspiré par des éléments d'architecture iranienne traditionnelle.
Au dessus de l'entrée principale se trouvent 4 éléments verticaux en forme de semi arche, qui servent à fournir de la lumière à l'atrium intérieur. Ces éléments sont des rappels aux badgir, les tours à vent traditionnelles des villes en bordure de désert. D'autres éléments similaires sont utilisés un peu partout dans le bâtiment.
Les différentes parties du bâtiment forment des masses rectangulaires de béton brut. Les éléments du toit sont recouverts de panneaux de cuivre.
La première salle, appelée Chāhār-su (« quatre chemins ») entoure un atrium spacieux, et permet d'accéder aux autres parties du musée (seconde salle, jardin des sculptures, librairie et café). Une rampe centrale circulaire permet d'accéder à un étage inférieur, fournissant un accès aux bureaux et à la bibliothèque. De la seconde salle, à l'étage inférieur, on peut accéder aux sept autres salles par un chemin en descente qui se termine à proximité de la rampe descendante depuis l'atrium.
Au centre de l'atrium se trouve un bassin rectangulaire, inspiré par les howz de l'architecture iranienne.

On trouve dans le musée des œuvres de Claude Monet, Camille Pissarro, van Gogh, James Ensor, Edouard Vuillard, André Dunoyer de Segonzac, Jules Pascin, André Derain, Louis Valtat, Georges Rouault, Fernand Léger, Pablo Picasso, Alberto Giacometti, Francis Bacon, Max Ernst, René Magritte, George Grosz, Diego Rivera, Jasper Johns, Andy Warhol, Roy Lichtenstein, Jim Dine, Peter Phillips, James Rosenquist, Fritz Winter, Joan Miro, William Turnbull, Victor Vasarely, Adolph Gottlieb, Richard Hamilton, Georges Braque, Jean-Paul Riopelle, Edvard Munch, Pierre Soulages, Edgar Degas, Mary Cassatt, Maurice Prendergast, František Kupka, Max Beckmann, James Whistler, Edward Hopper, Giorgio Morandi, Giacomo Balla, et Marcel Duchamp.
Dans le musée sont aussi conservées des œuvres d'artistes contemporains iraniens comme Parviz Tanavoli, Bahman Mohasses, Ahmad Esfandiari...
Le musée recèle d’autres trésors, comme notamment Le Jardin des Sculptures est un espace extérieur faisant partie du complexe du musée qui sert de lieu d'exposition à différentes sculptures.

l'art iranien, une tendance qui s'est imposée

article septembre 2008
La cote de l'art contemporain iranien décolle.

Les vernissages se multiplient, les artistes sont courtisés et les prix multipliés par 20 ou 30. C'est la ruée vers l'art contemporain iranien.

Loin des rumeurs de guerre contre le programme nucléaire du pays, ou des difficultés économiques, une classe aisée fait grimper la cote des artistes. Les plus aventureux achètent même la totalité des oeuvres d'un peintre avant même leur exposition dans une galerie. "Pendant 30 ans, personne ne s'intéressait à nous. Aujourd'hui, tout le monde veut acheter. C'est la ruée", affirme le grand sculpteur Parviz Tanavoli (72 ans). "Les gens ont de l'argent. Ils avaient l'habitude de le placer dans l'immobilier, aujourd'hui, ils voient qu'il y a aussi d'autres placements", ajoute-t-il.

Stagnante depuis la révolution islamique de 1979, la cote de certains artistes est brusquement passée d'environ 2.000 dollars à plus de 20.000 ou 30.000 dollars en moins de 2 ans. Un déclencheur de la hausse a été une vente en mai dernier chez Christie's à Dubaï. Une sculpture de Tanavoli, Persepolis, s'est arrachée pour 2,8 millions de dollars, le record pour un artiste contemporain iranien. Le jeune Farhad Mochiri a vu lui un de ses tableaux partir à 750.000 dollars. Le succès de la vente s'est répercuté sur le marché intérieur.

"Malgré la hausse des prix, il y a encore plus d'acheteurs qu'avant. Beaucoup veulent faire des investissements", raconte Shahnaz Kansari, qui dirige la galerie Mah (Lune).

Un phénomène identique est intervenu depuis plusieurs années en Russie, puis en Chine et en Inde, avec une envolée des prix. "Je crains que cette vague ne soit qu'une bulle spéculative qui va un jour exploser", dit Amirhossein Etemad, qui dirige la galerie Negarkhaneh Etemad. "Mais il est vrai que les prix étaient très bas auparavant", admet-il. Le marché se limitait alors à une poignée d'expatriés et de rares amateurs iraniens sans grande fortune.

L'exposition des artistes au marché étranger pourrait avoir des effets bénéfiques, selon M. Tanavoli, qui espère que l'Iran ait à terme entre 10 et 15 artistes "qui auront leur mot à dire au niveau international. Ce serait un succès important pour le pays". Actuellement, la plupart des acheteurs d'œuvres iraniennes à Dubaï, Londres ou Paris sont eux-mêmes Iraniens, mais les collectionneurs étrangers pointent le bout de leur nez.

"Nous sommes au début du chemin. Il y a de plus en plus d'expositions individuelles d'artistes iraniens à l'étranger", affirme la peintre Farideh Lachaie, qui expose bientôt au Canada.

"L'Iran était surtout connu à l'extérieur par les noms des poètes anciens comme Hafez, Ferdowsi ou Rumi. Aujourd'hui, la peinture et la sculpture contemporaines ont aussi leur mot à dire", ajoute-t-elle.

Le cinéma iranien a ouvert le chemin avec les oeuvres d'Abbas Kiarostami à la fin des années 1980. "Comme pour le cinéma, les gens ne s'attendaient pas à voir des peintures ou des sculptures de cette nature venant d'Iran. Ce qui explique peut-être ce succès", estime la peintre. En tout cas, le mouvement ne peut que renforcer l'intérêt des jeunes iraniens, déjà très nombreux à intégrer les facultés d'art.

"Chaque année, quelque 150 jeunes sculpteurs et plus de 600 jeunes peintres sortent des facultés d'art. Certains sont très prometteurs", constate M. Tanavoli, qui enseigne à Téhéran.

"Il y a une véritable fièvre, mais il n'y a aucune garantie que cela continue", dit la jeune Golnaz Afroz, âgée de 27 ans. Elle peint depuis 7 ans.

Son thème favori est les cafés parisiens, dont elle essaie de restituer l'ambiance sans jamais avoir mis les pieds en France. Ses tableaux se vendent aujourd'hui entre 300 et 500 euros contre une centaine précédemment. Une aubaine pour cette jeune artiste.


Guizella Varga Sinai Hafez et l'amour éternel

paris paris quand tu nous tiens...


Petit Make-up pour la Tour Eiffel

Depuis l'automne 2008, la Tour Eiffel prend une toute autre allure. Plusieurs résolutions ont été prises pour que notre monument français suive la mode du jour, le Développement Durable. En effet, pour préserver son attractivité et répondre aux urgences mondiales, un plan d’aménagement et d’accueil est mis en place (170 millions d’euros alloués sur 10 ans).

2009 sera l’année de ses 120 ans. Malgré son grand âge, notre Dame de fer reçoit près de sept millions de visiteurs annuels. Son succès sans cesse croissant l’oblige même à revoir régulièrement son système d’accueil. La ville de Paris, propriétaire du monument, veut privilégier la qualité plutôt que la quantité. Elle a donc mandaté la Société d’exploitation de l’édifice (SETE) pour conduire toute une série d’amélioration de ses services et de ses espaces, du rez-de-chaussée au dernier étage.

Premièrement, la Mairie et la SETE vont moderniser les guichets et le parvis. Enfin, les nombreuses caisses dispersées au pied de la Tour Eiffel, qui crèent les longues files d’attente que nous redoutons toutes (surtout si on est pressé d’être au sommet de l’édifice avec notre Jules pour un baiser romantique), seront regroupées en un seul endroit. De plus, la vente en ligne qui est déjà possible, est davantage encouragée.

Deuxièmement, une prise en compte des familles est de mise. En effet, une consigne pour les poussettes, des lieux de restauration et des points d’information seront à disposition du public. On pourra donc emmener nos enfants, nos petits frères et sœurs pour leur plus grand bonheur. Il faut aussi penser à notre tribu !

Troisièmement, la SETE prévoit aussi des rénovations techniques comme l’installation d’ascenseurs hydrauliques qui remplaceront les électriques. La Ville de Paris souhaite protéger son environnement par des mesures d’économies d’énergie. Quelle bonne initiative ! Et la cerise sur le gâteau, c’est que les ascenseurs seront dotés d’un accès facilité aux personnes handicapées.
De plus, pour pousser encore plus loin les bonnes actions pour notre nature, la Tour Eiffel scintillera deux fois moins longtemps ! Moins d’étoiles mais plus de respect pour notre environnement.

Enfin, dans les étages, de nouveaux services se déploient : une terrasse d’été aux couleurs changeantes (bleu Atlantique cette année) ; un bar à champagne (10 € la coupe, raisonnable pour un plaisir à deux avec vue sur la plus grande ville de France) au troisième ; un restaurant rénové au premier ; des boutiques de cadeaux-souvenirs plus spacieuses. De quoi satisfaire toute notre soirée ! alors, Messieurs, plus d’excuses pour pas nous faire plaisir ! Et pour se cultiver en même temps, plusieurs expositions sont prévues pour cet hiver.

Pour résumer, non seulement la Ville de Paris cherche à communiquer sur le thème du développement durable, de la préservation de la nature et des économies d’énergie, mais en plus, cela nous permet de passer une soirée encore plus romantique avec satisfaction garantie à tous les étages, avec notre amoureux (ou notre amant…). Que demander de plus pour notre bonheur…

nolimitparis.com

Nolimitparis.com

Lundi, 19h30, terrasse du café Beaubourg, je rencontre deux charmants jeunes hommes, l’un aux yeux bleu profond et l’autre au sourire renversant. Ca commence bien. Sylvain Rigal et Laurent Sifaoui, les deux créateurs de Nolimitparis, une boîte de communication, d’événementiel et de design, sont deux compères qui aiment faire la fête, mais surtout qui aiment la faire partager !

Présents depuis environ un an déjà dans nos soirées parisiennes, nos deux créateurs varient leurs activités et véhiculent des valeurs qu’on voudrait retrouver dans toutes nos party mais qui font souvent défaut lorsqu’on veut s’amuser : bonne musique, bonne ambiance, beaucoup d’amour et de fun, amitié et ouverture d’esprit.


Et pour cause, nos deux fêtards se connaissent depuis plus de 10 ans. Créatifs dans l’âme, ils ont créé un groupe de musique électro-pop « Kamadiva » qui les a fait baignés pendant 5 ans dans le monde de la musique,. Ils ont même joué au Printemps de Bourges ! Malgré des études en ingénieurie et polytechnique (eh oui Mesdemoiselles, ce sont aussi des têtes pensantes), Sylvain et Laurent rêvaient d’horizons plus … Rock’N’Roll, voulant sortir des normes. Et heureusement pour nous !

Il y a un an, ils ont pu concrétiser leurs rêves et créer Nolimitparis, leur agence de communication, d’événementiel et de design. Présents dans les grosses boîtes parisiennes (le Baron, le Showcase, la French, le Paris Paris, … et en ce moment Chez Moun), ces perfectionnistes pensent à notre confort. En effet, lors de leurs soirées, ils ne désirent qu’une chose : qu’on s’amuse sans attendre ! Ils privilégient le concept du Before, souvent de 19h à 2h environ, permettant ainsi aux invités de pouvoir faire la fête longtemps, assez tôt pour pouvoir être fraîche le matin pour aller travailler. Quel bonheur ! Plus besoin d’attendre le week-end pour faire la fête. Et leur prochain objectif est de pouvoir nous faire tous rentrer sans que l’on ait à attendre à l’entrée de la boîte. Ils peuvent être sûrs que nous les soutenons dans leur bonne action !

Mais nos ambitieux entrepreneurs ne s’arrêtent pas là. Toujours pleins de projets, ils ont développé une ligne de Tee-shirts, « Pronstyle », qui est un petit clin d’œil au monde de la musique (« pron » étant un terme couramment utilisé dans le milieu musical). Cette dernière étant leur « premier amour », ils ont aussi créé un label de musique, « Babe Records », qui a permis de lancer quelques groupes, comme les Aristochattes, qui commencent à être bien connus de nos scènes parisiennes. Ils font également de la sous-traitance webmastering pour les boîtes de nuit. Si tout ça vous fait briller les yeux (des hommes si actifs !), sachez, Mesdemoiselles, que ce ne sont plus des cœurs à prendre. Eh oui, ils sont aussi heureux en ménage. Mais sait-on jamais…

Comme je vous disais que Sylvain et Laurent pensent toujours à notre petit bien-être, ils nous réservent pour septembre et octobre plusieurs surprises. Je ne peux cependant rien vous dévoiler, mais je vais quand même vous donner quelques indices (eh oui, sinon ce ne serait pas tenable !) : 1) où que vous soyez, ils seront toujours avec vous ; 2) toujours plus d’amour et de fun ; 3) encore plus de rencontres ! Alors surtout, ne les ratez pas ou vous vous en mordrez les doigts…

26 et suite




meme soucis de couleurs pour les 26 ans



sur demande, les originaux peuvent être gratuitement envoyés

cliquez pour agrandir et voir les bonne scouleurs (normaaaalllement)


marion 25 ans et 26 ans et ...



Attention aux couleurs (encore une histoire de cmjn et de rvb je pense...)


Depuis bien longtemps, je n'ai plus écris sur mon blog, faute de temps... des articles sont à venir, certains déjà écris depuis longtemps... mais nous ne choisissons pas toujours :)

En attendant, voici quleques petites créations de fliers que j'avais fais l'année dernière et cette année pour les 26 ans de ma cousine.

Enjoy @